Baara
à la résistance de l’âme humaine. Chaque mouvement révèle la poésie cachée dans les actions ordinaires. Les ouvriers deviennent artistes, transformant la peine en beauté, le spleen en espoir, les gestes du labeur en danse.
Réservez vos places pour jeudi 10 avril 2025 à 20h.
à la résistance de l’âme humaine. Chaque mouvement révèle la poésie cachée dans les actions ordinaires. Les ouvriers deviennent artistes, transformant la peine en beauté, le spleen en espoir, les gestes du labeur en danse.
Réservez vos places pour jeudi 10 avril 2025 à 20h. La Scène de recherche ENS-PARIS-SACLAY webmaster@ens-paris-saclay.fr Europe/Paris public
Jeudi 10 avril 2025 à 20h
Danse
30min
Tout public
Tarif : 10 € tarif unique
Gratuit pour les élèves de la maternelle à la thèse
Synopsis
Baara, « travail » en baoulé, est un hymne à la dignité des travailleurs, aux invisibles qui abiment leurs corps pour faire tourner notre monde.
Les danseurs Tidiani N’Diaye et Adonis Nebié nous emportent dans une chorégraphie symphonique où l’énergie du travail se mêle à la résistance de l'âme humaine. Chaque mouvement révèle la poésie cachée dans les actions ordinaires, capturant l'essence brute de la survie. Enveloppés dans la musique expérimentale de la compositrice Clara De Asìs, les ouvriers deviennent artistes, transformant la peine en beauté, le spleen en espoir, les gestes du labeur en danse.
Dans le cadre du festival Essonne Danse.
Baara a été créé dans le cadre des Vive le sujet ! Tentatives du festival d’Avignon 2024
Chorégraphie et interprétation : Tidiani N’Diaye et Adonis Nebié Tauwindsida
Musique : Clara De Asìs
Production : Copier Coller
Coproduction : Le festival d’Avignon et la SACD, Le TU-Nantes, scène jeune création et arts vivants, La Scène de recherche - Paris-Saclay, Les Ateliers Médicis, Le Fil Coopérative malienne d’artiste.
Résidences : La Scène de recherche - Paris-Saclay, Le Centre national de danse contemporaine d’Angers.
Soutiens : Service de Coopération et d’Action culturelle de l’Ambassade de France au Mali
Illustration : Jérôme Foubert